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Materiel professionnel d'amaigrissement MEDISCUPLT
8 000€

Materiel professionnel d'amaigrissement MEDISCUPLT

21 janvier 2020
GUA15592
MATERIEL A VENDRE EN GUADELOUPE VALEUR NEUF 75000 EUROS VENDU 8000 EUROS
Materiel professsionnel d'amaigrissement et de traitement de la cellulite par électrostimulation et infrarouges ondes courtes programation informatique des zones du corps à traiter process de traitement entièrement automatique
L'intérêt fondamental de la Mediscuplture® réside dans la disparition de la cellulite, véritable phénomène naturel, à tendance féminine. La cellulite se définit généralement comme une hydro-lipodystrophie (c'est-à-dire une infiltration d'eau et une accumulation de graisses, plus une souffrance cellulaire des adipocytes) qui entraîne un épaississement et une désorganisation du tissu fibreux. Un oedème va se former et va augmenter la pression d'eau puis comprimer les fibres et les cellules.
A côté de cette altération cellulaire et fibrinoïde s'ajoute la compression des vaisseaux sanguins et lymphatiques qui entraîne un ralentissement des échanges. La circulation veineuse et lymphatique s'en trouvent gênées et conduit à un état "d'asphyxie" du tissu conjonctif.
Les zones dites "cellulitiques" sont constituées, pour une très grande part, de tissu adipeux emprisonné dans des travées de tissu conjonctif plus ou moins dense. Afin de mieux rendre compte du problème, il serait donc préférable de se référer, en termes plus techniques, à une accumulation de tissu adipeux. Il paraîtrait plus judicieux de parler de lipodystrophie, de lipomérie ou de dysmorphie graisseuse.
La cellulite se retrouve tant chez la femme que chez l'homme mais elle se loge différemment en fonction du sexe.
Chez la femme, habituellement, la majorité de la graisse est située dans la partie basse du corps, sous le plan horizontal passant par le nombril (graisse glutéale et fémorale donnant les dépôts bien connus en "culotte de cheval") alors que chez l'homme la graisse se concentre préférentiellement sur la moitié haute du corps, au-dessus de ce même plan.
Un tissu adipeux hétérogène
L'une des caractéristiques principales de la graisse accumulée sur le bas du corps est d'être très difficilement mobilisable afin d'être brûlée par l'organisme. Lorsqu'une femme entreprend un régime amaigrissant et qu'elle oblige peu à peu ses adipocytes à lâcher la graisse qu'ils contiennent, il est cependant rare qu'elle parvienne à obliger les adipocytes de ses cuisses à obéir.
Ainsi, alors que les régimes amaigrissants lui permettent en général de perdre de la "graisse de partout", cette graisse-là semble véritablement "coller" à ses cuisses. Il s'agit là en quelque sorte d'une graisse sacrée, celle que le corps "n'accepte" éventuellement de brûler que dans une situation de grossesse ou d'allaitement.
Le corps préférera, sous l'effet d'une forte demande énergétique, brûler les graisses situées dans d'autres parties du corps, voire même consentira à brûler les muscles pour obtenir l'énergie exigée plutôt que de se résoudre à entamer cette réserve précieuse, dans laquelle il lui est absolument interdit de puiser en dehors des besoins créés pour la fabrication et l'alimentation des bébés.
Description des récepteurs OC & B
Le tissu adipeux est hétérogène parce qu'il y a présence sur les membranes des adipocytes d'alpha-récepteurs qui freinent la lipolyse, et à l'inverse la présence de bêta-récepteurs qui accélèrent la lipolyse.
Les récepteurs bêta (lipolytiques) favorisent la lipolyse. Ils sont mobilisés en première intention lors d'un régime alimentaire ; la lipolyse à ce niveau explique les amaigrissements indésirables parce que mal ciblés, concernant les joues ou le buste par exemple.
Les récepteurs alpha (anti-lipolytiques) inhibent la lipolyse des zones de "surcharges rebelles". L'élimination de ces surcharges est généralement peu accessible à un régime alimentaire : l'alphalipologie se présente en revanche comme la technologie capable de lever les résistances du récepteur alpha, et de consommer les métabolites gras libérés.
Les récepteurs adipocytaires alpha, disséminés sur les zones de surcharge, antilipolytiques, sont particulièrement résistants à la lipolyse.
Le type androïde, plutôt masculin, se retrouve plus visiblement chez la femme ménopausée. Ces récepteurs sont l'obstacle habituel à un amincissement harmonieux, puisqu'ils régissent des zones «protégées», et des stockages graisseux qui ne seront utilisés qu'en dernier recours, en phase ultime d'un long régime, en période de jeûne prolongé, d'allaitements intensifs et multiples, ou dans des conditions thermiques extrêmes et durables. Il est difficile de prescrire sérieusement un jeûne long, une traversée du désert, ou un trekking dans le Grand Nord.
L'amincissement, chez la femme surtout, produit ainsi des résultats locaux décevants, et les techniques classiques purement nutritionnelles apportent peu de solutions.
Les adipocytes possèdent en réalité quatre récepteurs adrénergiques impliqués dans le contrôle de la production d'AMPc et de la lipolyse :
L es bêtas- et bêta2-récepteurs sont les récepteurs les plus importants dans l'activation de la lipolyse. Leur proportion relative varie selon la localisation anatomique des dépôts adipeux et le niveau d'obésité des individus. Une expression réduite des bêta2-récepteurs ou une dysfonction de ces derniers peuvent expliquer certaines résistances aux effets lipolytiques des catécholamines.
Le bêta3-récepteur ne semble pas jouer un rôle important dans la régulation de la lipolyse de l'adipocyte blanc de l'homme. II est peu exprimé dans les adipocytes sous-cutanés. Son importance éventuelle dans la genèse de troubles métaboliques est encore mal définie.
Les alpha2-récepteurs sont abondants dans l'adipocyte hypertrophié. Leur stimulation sélective provoque une inhibition de la lipolyse. L'adrénaline et la noradrénaline ont plus d'affinité pour les alpha2-récepteurs que pour les bêta-récepteurs ; ces récepteurs sont donc stimulés préférentiellement aux faibles concentrations de catécholamines.
Les récepteurs adrénergiques sont distribués de façon hétérogène selon la localisation anatomique du tissu adipeux. La plus forte densité d'alpha2-récepteurs (et les effets antilipolitiques les plus marqués) est rencontrée dans les adipocytes sous-cutanés, qui sont les plus hypertrophiés. Le tissu adipeux glutéo-fémoral des femmes (celui de la "cellulite") contient la plus forte densité d'alpha2-récepteurs et la plus faible densité de bêtai/bêta2-récepteurs. C'est le tissu qui est de très loin le plus réfractaire aux effets lipolytiques des catécholamines.
L'excès de récepteurs alpha2-adrénergiques pourrait expliquer la difficulté de mobilisation de ces graisses fémorales et glutéales lors de protocoles amaigrissants ».
celu M6 esthetique
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