MATERIEL A VENDRE EN GUADELOUPE VALEUR NEUF 75000 EUROS VENDU 8000 EUROS Materiel professsionnel d'amaigrissement et de traitement de la cellulite par électrostimulation et infrarouges ondes courtes programation informatique des zones du corps à traiter process de traitement entièrement automatique L'intérêt fondamental de la Mediscuplture® réside dans la disparition de la cellulite, véritable phénomène naturel, à tendance féminine. La cellulite se définit généralement comme une hydro-lipodystrophie (c'est-à-dire une infiltration d'eau et une accumulation de graisses, plus une souffrance cellulaire des adipocytes) qui entraîne un épaississement et une désorganisation du tissu fibreux. Un oedème va se former et va augmenter la pression d'eau puis comprimer les fibres etles cellules. A côté de cette altération cellulaire et fibrinoïde s'ajoute la compression des vaisseaux sanguins et lymphatiques qui entraîne un ralentissement des échanges. La circulation veineuse et lymphatique s'en trouvent gênées et conduit à un état "d'asphyxie" du tissu conjonctif. Les zones dites "cellulitiques" sont constituées, pour une trèsgrande part, de tissu adipeux emprisonné dans destravées de tissu conjonctif plus ou moins dense. Afin de mieux rendre compte du problème, il serait donc préférable de se référer, en termes plustechniques, à une accumulation de tissu adipeux. Il paraîtrait plus judicieux de parler de lipodystrophie, de lipomérie ou de dysmorphie graisseuse. La cellulite se retrouve tant chez la femme que chez l'homme mais ellese loge différemment en fonction du sexe. Chez la femme, habituellement, la majorité de la graisse estsituée dans la partie basse du corps, sousle plan horizontal passant par le nombril (graisse glutéale et fémorale donnantles dépôts bien connus en "culotte de cheval") alors que chez l'homme la graisse se concentre préférentiellementsur la moitié haute du corps, au-dessus de ce même plan. Un tissu adipeux hétérogène L'une des caractéristiques principales de la graisse accumulée sur le bas du corps est d'être très difficilement mobilisable afin d'être brûlée par l'organisme. Lorsqu'une femme entreprend un régime amaigrissant et qu'elle oblige peu à peu ses adipocytes à lâcher la graisse qu'ils contiennent, il est cependant rare qu'elle parvienne à obliger les adipocytes de ses cuisses à obéir. Ainsi, alors que les régimes amaigrissants lui permettent en général de perdre de la "graisse de partout", cette graisse-là semble véritablement "coller" à ses cuisses. Il s'agit là en quelque sorte d'une graisse sacrée, celle que le corps "n'accepte" éventuellement de brûler que dans une situation de grossesse ou d'allaitement. Le corps préférera, sous l'effet d'une forte demande énergétique, brûler les graissessituées dans d'autres parties du corps, voire même consentira à brûler les muscles pour obtenir l'énergie exigée plutôt que de se résoudre à entamer cette réserve précieuse, dans laquelle il lui est absolument interdit de puiser en dehors des besoins créés pour la fabrication et l'alimentation des bébés. Description des récepteurs OC & B Letissu adipeux est hétérogène parce qu'il y a présence sur les membranes des adipocytes d'alpha-récepteurs qui freinent la lipolyse, et à l'inverse la présence de bêta-récepteurs qui accélèrent la lipolyse. Les récepteurs bêta (lipolytiques) favorisent la lipolyse. Ilssont mobilisés en première intention lors d'un régime alimentaire ; la lipolyse à ce niveau explique les amaigrissements indésirables parce que mal ciblés, concernantlesjoues ou le buste par exemple. Les récepteurs alpha (anti-lipolytiques) inhibent la lipolyse des zones de "surcharges rebelles". L'élimination de cessurcharges est généralement peu accessible à un régime alimentaire : l'alphalipologie se présente en revanche comme la technologie capable de lever les résistances du récepteur alpha, et de consommer les métabolites gras libérés. Les récepteurs adipocytaires alpha, disséminéssur les zones de surcharge, antilipolytiques, sont particulièrement résistants à la lipolyse. Letype androïde, plutôt masculin, se retrouve plus visiblement chez la femme ménopausée. Ces récepteurssont l'obstacle habituel à un amincissement harmonieux, puisqu'ils régissent des zones «protégées», et desstockages graisseux qui ne seront utilisés qu'en dernier recours, en phase ultime d'un long régime, en période de jeûne prolongé, d'allaitements intensifs et multiples, ou dans des conditionsthermiques extrêmes et durables. Il est difficile de prescrire sérieusement un jeûne long, une traversée du désert, ou un trekking dansleGrand Nord. L'amincissement, chez la femme surtout, produit ainsi des résultats locaux décevants, etlestechniques classiques purement nutritionnelles apportent peu de solutions. Les adipocytes possèdent en réalité quatre récepteurs adrénergiques impliqués dansle contrôle de la production d'AMPc et de la lipolyse : L es bêtas- et bêta2-récepteurssontles récepteursles plus importants dans l'activation de la lipolyse. Leur proportion relative varie selon la localisation anatomique des dépôts adipeux etle niveau d'obésité des individus. Une expression réduite des bêta2-récepteurs ou une dysfonction de ces derniers peuvent expliquer certaines résistances aux effets lipolytiques des catécholamines. Le bêta3-récepteur ne semble pasjouer un rôle important dans la régulation de la lipolyse de l'adipocyte blanc de l'homme. II est peu exprimé dansles adipocytessous-cutanés. Son importance éventuelle dans la genèse de troubles métaboliques est encore mal définie. Les alpha2-récepteurssont abondants dans l'adipocyte hypertrophié. Leur stimulation sélective provoque une inhibition de la lipolyse. L'adrénaline et la noradrénaline ont plus d'affinité pour les alpha2-récepteurs que pour les bêta-récepteurs ; ces récepteurssont donc stimulés préférentiellement aux faibles concentrations de catécholamines. Les récepteurs adrénergiquessont distribués de façon hétérogène selon la localisation anatomique du tissu adipeux. La plus forte densité d'alpha2-récepteurs (etles effets antilipolitiquesles plus marqués) est rencontrée dansles adipocytessous-cutanés, qui sontles plus hypertrophiés. Letissu adipeux glutéo-fémoral des femmes (celui de la "cellulite") contient la plus forte densité d'alpha2-récepteurs et la plus faible densité de bêtai/bêta2-récepteurs. C'estletissu qui est de très loin le plus réfractaire aux effets lipolytiques des catécholamines. L'excès de récepteurs alpha2-adrénergiques pourrait expliquer la difficulté de mobilisation de ces graisses fémorales et glutéales lors de protocoles amaigrissants ». celu M6 esthetique