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11 romans reliés de Christian Signol

11 romans reliés de Christian Signol

14 janvier 2020
AUV757804
Livres lus une fois :

MARIE DES BREBIS :
Marie ne connaissait pas la date exacte de sa naissance. Johannes, le vieux pâtre de Maslafon, l'avait trouvée endormie parmi les brebis un matin d'automne 1901. Il la baptisa Marie des brebis et l'aima comme sa fille...
Près d'un siècle plus tard, cette même Marie, en sa grande vieillesse, confie sa vie à Christian Signol. Il l'écoute avec passion et nous offre un livre qui fleure bon le laurier sauvage des Causses, le miel et l'orange de Noël. L'existence de Marie, toute simple et modeste, rythmée par les saisons et les bouleversements de l'histoire, est une formidable leçon de courage et d'humanité, comme si parfois la vérité n'était jamais aussi juste que dans la bouche des plus humbles.

LES MESSIEURS DE GRANDVAL : (comme neuf)
le romancier fait revivre ici une petite fonderie, aux confins du Périgord et du Limousin, sur laquelle règne la dynastie des Grandval. Dans la vallée de l'Auvézère, on est maître de forges de père en fils, et Fabien, l'aîné, succédera au patriarche Eloi, fût-ce au prix de son bonheur, de sa liberté. Ce roman grave et prenant est un magnifique hommage à ces hommes du fer et du feu habités par la passion de leur charge, balayés par les vents de l'Histoire et du progrès.

BLEUS SONT LES ETES : livre neuf
Berger sur son causse natal qu'il n'a jamais quitté, le vieil Aurélien se désole de devoir mourir sans descendance, dans un hameau presque déserté.
L'arrivée d'une famille de vacanciers parisiens bouleverse sa vie. Entre le jeune Benjamin et lui se noue une complicité immédiate. Le jeune garçon ne le quitte plus, découvre auprès de lui les secrets de la nature et la beauté du monde. Pour Aurélien, Benjamin représente le fils qu'il n'a jamais eu. Comment accepteraient-ils, l'été fini, de se séparer ?

UNE ANNEE DE NEIGE : état neuf
Partir, fuir sa triste banlieue, la grisaille... Sébastien a dix ans et la leucémie menace sa vie. Malgré l'amour de sa mère, il n'a qu'une obsession : rejoindre dans le Lot ses grands-parents qui sauront éloigner de lui la peur et la mort. Il est sûr qu'au coeur de cette campagne qu'il aime tant, il pourra puiser l'énergie pour lutter contre la terrible maladie qui l'affaiblit chaque jour davantage. Dans la petite ferme familiale, Sébastien oscille entre les périodes de découragement et le plaisir des joies simples, dans l'enchantement toujours renouvelé de la nature et de ses secrets. Son grand-père ne lui a-t-il pas raconté que l'hellébore, éphémère rose de Noël qui fleurit sous la neige, possède des pouvoirs magiques qui pourraient lui apporter la guérison tant espérée ? Jamais peut-être l'immense conteur qu'est Christian Signol n'avait su toucher au coeur avec une telle justesse. Vous n'êtes pas près d'oublier Sébastien, petit bonhomme têtu et stoïque, cheminant main dans la main avec ses grands-parents, découvrant la force et le courage de ces campagnes qui, elles aussi, se battent pour ne pas mourir et préserver une certaine idée du bonheur.

POURQUOI LE CIEL EST BLEU :
Julien Signol, mon grand-père paternel, ne sut jamais lire ni écrire, et moi, son petit-fils, je suis devenu écrivain. Grâce à lui bien sûr, grâce à mes parents, à leur travail, à leur courage, à tout ce qu'ils m'ont légué. Et pourtant, il a fallu plus de quarante ans à Julien pour oser poser à son fils la question à laquelle sa mère avait répondu par une gifle cruelle quand il avait sept ans : "Pourquoi le ciel est bleu ?" Il en était resté meurtri, comprenant vaguement que l'enfant d'une domestique, veuve de surcroît, n'avait pas le droit de lever la tête vers le ciel. Cette scène ne s'est pas déroulée au XVIIIe siècle, mais à l'orée du XXe... Les hommes souffrent, luttent, pour que leurs enfants vivent mieux qu'eux. Julien en est un humble exemple : en échappant à un destin écrit d'avance, il a réussi à conquérir sa dignité, à offrir à ses fils tout ce qui lui avait manqué. N'est-ce pas encore aujourd'hui, malgré les différences de modes de vie, le but de tous les hommes et de toutes les femmes dans un combat qui demeure et demeurera toujours le même ?

LES ENFANTS DES JUSTES :
En 1942, dans le département de la Dordogne, la ligne de démarcation croise le cours de l'Isle. La ferme des Laborie est à deux pas de la rivière et Virgile, n'écoutant que son coeur, ne refuse jamais sa barque à ceux qui tentent de passer en zone libre. Lorsqu'on propose à Virgile et à Victoria qui n'ont jamais pu avoir d'enfants, de cacher Sarah et Elie, deux gamins juifs perdus dans la tourmente, ils accueillent les petits réfugiés comme un don du ciel. Au fil des jours, malgré les trahisons, les dénonciations, les contrôles incessants, la Résistance s'organise dans le Périgord jusqu'aux reflux des troupes allemandes dans le sang et la terreur.
Avec une sensibilité, une justesse de ton qui bouleversent, Christian Signol évoque cette période douloureuse de l'Histoire où, comme les Laborie, de nombreux Français n'hésitèrent pas à mettre leur vie en jeu avec la simple certitude d'accomplir leur devoir de citoyen, d'être humain.
Ce roman auquel l'auteur tient tant est un superbe hommage à la mémoire de ces Justes qu'on ne peut oublier.

LA GRANDE ILE :
Une île sur la Dordogne. Un monde aquatique, poétique et mystérieux, propice aux rêves, un refuge. C'est là que vivent Bastien et sa famille. L'eau et la rivière sont leur univers, un paradis qui les fait vivre et les enchante, jour après jour. Mais si la guerre ne parvient pas à en briser l'harmonie, tout se dissout pourtant peu à peu, sauf le souvenir du bonheur, de l'enfance éternelle.

ILS REVAIENT DES DIMANCHES :
Pour la plupart des familles françaises, passées en trois générations de la paysannerie à l'université, le XXe siècle a été un formidable ascenseur social. L'histoire de ma famille maternelle est symbolique de cette évolution, et c'est pourquoi j'ai eu envie de la raconter. Ce que nous sommes aujourd'hui, nous le devons au travail acharné, aux sacrifices, à l'obstination de nos aïeux, de nos parents, qui ont lutté pour que leurs enfants, leurs petits enfants, un jour, vivent mieux. Leur vie sur une terre que souvent ils ne possédaient pas était rude, difficile : ils rêvaient des dimanches pour prendre enfin un peu de repos, leur seule récompense avec le pain de chaque jour. Nombreux seront ceux qui se reconnaîtront dans ces pages où s'exprime avant tout la gratitude que nous devons à ces hommes et ces femmes humbles et courageux. "Christian Signol

BONHEURS D'ENFANCE Ed. A. Michel
Tant de trésors me reviennent à la mémoire : le lavoir, le travail du maréchal-ferrant, l'étude du soir dans la bonne odeur du poêle à bois, l'arrivée des gitans, du cirque, des rétameurs, l'odeur suffocante de l'alambic sur le chemin de l'école, les foins de juin sous la ronde folle des hirondelles, les moissons, le petit âne des jeudis matins qui transportait les colis de la gare, le garde-champêtre et son tambour, la pêche aux écrevisses, la musique des manèges lors de la fête foraine, la neige sur le chemin de l'école, les grandes foires, les cloches et les sabots de Noël, la traite des vaches et la distribution du lait en compagnie de ma grand-mère, les bouillottes de l'hiver, les vendanges, le foirail entouré de grands ormes séculaires ; tant de choses encore qui restent intactes dans ma mémoire et le resteront toujours. Car, au-dessus de mon village, le ciel est toujours bleu. Il est sorti du temps. Il vit en moi, comme vivent tous ceux qui l'habitaient alors, à commencer par mon grand-père et ma grand-mère qui furent les premières pierres précieuses d'un monde, d'une époque, dont je n'ai pas assez profité, pour n'en avoir vraiment mesuré la richesse et la fragilité que trop tard.
Ce village, je le sais, c'est un avant-goût du paradis.

LA PROMESSE DES SOURCES - succès du livre
Changer de vie, retrouver ses racines et sa vérité profonde... chacun de nous a un jour ou l'autre caressé ce rêve sans oser le vivre. Constance, elle, n'y avait jamais songé. Installée à Paris, elle s'était organisée une existence qu'elle croyait réussie, loin de son Aubrac natal, loin des siens, et peut-être aussi d'elle-même. Et soudain la mort de son père a tout fait basculer.
De retour dans le village familial, les parfums, les émotions, les souvenirs de l'enfance l'envahissent. À quarante ans, l'avenir est encore devant elle. Défiée par Antoine, le journaliste, elle décide de reprendre la coutellerie familiale. Un pari fou pour cette enfant du pays devenue une étrangère, et, pour certains, une ennemie. Mais la ténacité, le courage et l'intelligence peuvent triompher des pires obstacles. Et puis, il y a Antoine, le passionné des grands espaces et des oiseaux sauvages. Antoine, qui va lui apporter l'amour qu'elle n'espérait plus.

LES NOELS BLANCS :
Du plus loin qu'il se souvenait, les Noëls, dans ce haut pays, avaient été blancs. La neige faisait son apparition dès le mois des morts, s'en allait, revenait, restaurait la beauté des montagnes en une nuit, rendait le monde neuf, comme ce matin, ce janvier du nouveau siècle, dont François attendait ingénument quelque chose d'extraordinaire qui allait changer sa vie. . Au coeur des passions humaines, une flamboyante saga qui traverse le siècle.

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